la trace de balmat

Aurélien Philippon termine son mémoire de guide de haute montagne sur Jacques Balmat dit «Balmat du Mont-Blanc», cristallier et guide à Chamonix qui réussit, avec le docteur Paccard, la première ascension du Mont-Blanc en 1786. Mais Balmat est aussi chercheur d’or. Persuadé qu’il y a de l’or dans le massif, il part, un beau matin de septembre 1834, pour ne jamais revenir. Son corps ne sera jamais retrouvé !
Les recherches d’Aurélien prendront une tournure différente lorsqu’il apprendra qu’une vieille dame descendante de Balmat possède, bien caché, le testament du cristallier qui indique de façon sibylline «le point précis d’où l’or jaillit»…

Le petit Bonheur

Qui naît le plus dans cette histoire ?

s’interroge Marion, penchée sur le berceau de son bébé. La jeune femme ignore encore  qu’elle découvrira grâce à Mathilde une forme d’amour qu’elle n’imaginait pas. Leurs monologues entrelacés, dans un chant à deux voix tissent une toile serrée d’impressions douces et d’émotions fortes d’où émergent, palpitants l’espoir et la consolation. Si Maryvonne Rippert évoque ici la mort subite du  nourrisson, c’est pour célébrer avant tout le bonheur de cette extraordinaire rencontre.

librairie des pentes

Dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon, Antoine Baïls tient la Librairie des pentes. Célibataire, il passe beaucoup de temps dans les bistrots où il entraîne parfois son neveu, Richard. Si l’oncle est plutôt iconoclaste, anarchiste et bon vivant, le neveu, lui, par sa réussite sociale et son mariage avec Cécile Fabre-Morini, appartient désormais à l’une des plus influentes familles de la ville. En pleine période électorale, une de leurs virées nocturnes tourne mal. Surtout quand Pilar débarque dans la librairie d’Antoine… Autant dire que l’enquête qui suit va sacrément secouer la torpeur lyonnaise.